mardi 25 septembre 2012

Je survis, merci.

     Hamha !
       (Oui j'ai fait Hamster LV3, don't be jealous)
    
       Commençons avec ceci:


Salut bonjour !


      Ces derniers jours, les microbes ont décidé que mon corps était un bel endroit pour faire du camping.


If you know what I mean.

     Mais je ne m'avoue pas vaincue, ooooh non, j'ai acheté des Actimels pour renforcer mes défenses naturelles. Non je mens. Je suis bien trop pauvre pour cela. Actuellement le contenu de mon frigo se résume à: deux tomates, du Saint-Morêt allégé et du jus d'orange. Manger bien, c'est pour les riches.
    J'imagine que je t'ai manqué, cher lecteur. Si si. Je te jure. Tu t'en es juste pas rendu compte. J'TE L'DIS. 
    Pour ma défense, je me suis réinstallée dans ce qu'on appelle dans le jargon une “cité universitaire”, contrée où le mot chauffage n'existe pas et où le réseau internet est plus que bancal. Il m'est difficile de survivre dans cette atmosphère hostile, mais pour l'instant je m'en sors. Dans le milieu on me surnomme Alan Parrish.


     Je me suis d'ailleurs lié d'amitié avec mes voisins, Germaine et Ernest, deux araignées vivant sur le balcon (autant dire que je vais rarement empiéter sur leur espace personnel). Très sympathiques.
    
     La vie sans internet, c'est vraiment étrange. Lorsqu'une coupure survient, passées les 20 minutes d'insultes et de rafraîchissement de pages, généralement, je tente d'occuper mes mains et mon esprit. Musique, ménage, vaisselle, tout est bon pour oublier le fait que je rate sans doute un scandale sur Facebook, une crise nationale sur Twitter ou une émeute sur Doctissimo. Après avoir réussi à canaliser mon agacement, j'ai fait le tour des tâches ménagères offertes par mon 18m². C'est alors l'heure de la panique et des remises en question ; que vais-je devenir ? Que faire pour m'occuper ? Je ne vais quand même pas finir par... faire mes devoirs ? Et devoir parler à des gens réels ? (A l'heure où j'écris ces lignes, cela fait 30 minutes que je me pose ces questions.)
     Généralement c'est quand je sors mes devoirs à faire pour le lendemain que Monsieur fait son grand retour: je l'engueule 2 minutes (“T'étais où ? Franchement t'exagères, partir sans prévenir, aucune nouvelle pendant deux heures. Tu me dégoûtes !”) mais l'incident est vite oublié et ma procrastination revit.


Gif perturbant

     Enfin je vous dis ça, mais là, je suis un peu en pleine crise de nerfs. REVIENS. JE T'AIME.

P.S.: il est évident que si vous lisez ces lignes, c'est que le réseau est rétabli ; ainsi mon désespoir est terminé et vous avez le droit de nous imaginer, l'outil Internet et moi, sautillant main dans la main le port USB dans un champ de coquelicots.

    Archichao, j'dois vous laisser, je sens que ma roue m'appelle. Wou.

lundi 10 septembre 2012

Qui a volé mon second degré ?


     Encore un coup de Michal je parie.
     Vous l'aurez peut-être remarqué au vu du nombre d'articles postés le mois dernier, depuis quelques temps, il semble que j'aie perdu une partie de mon humour. Ca m'embête un peu. Il est arrivé plusieurs fois que je ne comprenne pas une blague subtile, ou bien que je ne saisisse plus le second degré. Moi Cow-Boy de Tchernobyl, je refuse d'être réduit à un humour premier degré des plus insupportables.


Pour compenser, j'ai fait péter le budget "montage de merde"

     Alors que vous êtes petit à petit en train d'oublier mon existence (ce que je refuse), je me bats contre la page blanche. Mais bon voilà, il y a un moment où je dois quand même écrire un truc.
    Donc, des nouvelles de moi:

- J'ai vu un match d'impro. J'ai kiffé.

- J'ai retrouvé la vie en solitaire, enfin, au moins 5 jours par semaine (joie et liberté récupérées, ALLELUIA)


La légende raconte qu'en cherchant "Alleluia" sur Google images, on tombe sur un gif de Zac Efron.
Internet est merveilleux.

- Cette année, j'ai dû prendre option espagnol. L'occasion de sortir mes plus belles camisas et de jouer des castagnettes.

- J'ai rejoint un site de rencontre, FOR THE LULZ évidemment, dans le seul but d'en écrire un article et de vous distraire. Pour la science, quoi.



   Voilà, c'est fini.
   Promis la prochaine fois, ce sera mieux (tiens donc ça ferait pas depuis le début de ce blog que je dis ça ?)

    Bisous bisous, et encore merci pour le poisson.
     Ton fidèle ami pas très fidèle.